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Des spectateurs devenus musiciens à l’occasion de la Fête de la Musique

23 juin 2015

Yverdon-les-Bains – Familles et amis se sont retrouvés, dimanche, à l’occasion de la douzième édition de l’événement pour chanter, danser, ou tout simplement découvrir de nouveaux artistes.

Le président de l’Association de la Fête de la musique, Gilles Gfeller (au centre), a animé la place de l’Ancienne- Poste avec le groupe de percussions africaines et afro-cubaines de la Fodge Music School. © Nadine Jacquet

Le président de l’Association de la Fête de la musique, Gilles Gfeller (au centre), a animé la place de l’Ancienne- Poste avec le groupe de percussions africaines et afro-cubaines de la Fodge Music School.

Les rues de la Cité thermale ont vibré, dimanche dernier, à l’occasion de la douzième édition de la Fête de la musique d’Yverdon-les-Bains (LAFMY) et son programme aux petits oignons, pour bien débuter l’été. Cette manifestation, qui se voulait participative, avec des ateliers de peinture et de création musicale, s’est déroulée pour le mieux.

«La fréquentation était semblable à l’an dernier», indique Gilles Gfeller, président de l’association LAFMY, en se basant sur le ressenti des organisateurs et sur les chiffres enregistrés dans les différents stands.

Park Stickney et Violaine Contreras ont joué, en début d’après-midi, au café L’Intemporel. © Nadine Jacquet

Park Stickney et Violaine Contreras ont joué, en début d’après-midi, au café L’Intemporel.

«Les deux créations ont été une grosse réussite. Elles ont bien été suivies et ont beaucoup plu. Les gens ont été touchés par le travail très abouti des Voyages extraordinaires», relève le président, alors que les visiteurs ont composé six morceaux de musique qui ont été chantés et dansés durant la soirée, sur la scène Elvis de la place Pestalozzi.

Alfredo Rodriguez a également attiré la foule et la salle de L’Echandole n’a, malheureusement, pas pu accueillir tous les spectateurs souhaitant écouter le jazzman.

«Quant aux prestations de la grande scène, la qualité est vraiment au rendez-vous et elle va en progressant, d’année en année», se réjouit Gilles Gfeller.

Muriel Aubert