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Balthazar a été le premier à pointer le bout de son nez
Yverdon, 2 janvier 2020. EHNV, 1er bébé de l'année, Géraldine Candido et Julien Barrière avec le petit Balthazar Barrière. © Michel Duperrex

Balthazar a été le premier à pointer le bout de son nez

6 janvier 2020 | Edition N°2655

Le premier bébé de Géraldine Candido et Julien Barrière est arrivé presque à l’heure, le 1er janvier.

Bien emmailloté dans sa couverture, Balthazar dort paisiblement, sous le regard attendri de Julien Barrière, son papa, et Géraldine Candido, sa maman. Ce petit bout de chou n’a pas laissé à sa maman le temps de souffler. à peine arrivée à la maternité à 23h30 le 31 décembre, elle donnait naissance à Balthazar à 3h26 le 1er janvier. «Il y avait déjà deux autres mamans qui devaient accoucher quand je suis arrivée. Je n’ai pas imaginé que mon bébé serait le premier à naître. Il était prévu pour le 31 décembre», relève Géraldine Candido.

Yverdon, 2 janvier 2020. EHNV, 1er bébé de l’année, le petit Balthazar Barrière. © Michel Duperrex

Premier enfant de ce couple, il est aussi le premier petit-enfant des deux familles et même le premier arrière-petit-enfant. Fort attendu, le petit garçon a déjà bénéficié d’une fête de bienvenue, alors qu’il était encore dans le ventre de sa maman. «Nous avons organisé une petite cérémonie avec nos proches. Son parrain était chargé de s’enquérir du sexe de notre bébé auprès du gynécologue et de faire un gâteau qui soit rose ou bleu, en fonction du sexe. En coupant le gâteau, nous avons appris que nous attendions un garçon», confie le couple. «Nous l’avons bien arrosé, même si pour moi, c’était au champagne sans alcool!», admet la maman. Avec ses 3,780 kg pour 50 centimètres, Balthazar est le 126e habitant de Treytorrens, où son papa est brasseur. Sa maman, quant à elle, Valaisanne originaire de Sion, travaille comme employée de commerce à Aigle.

La venue de ce premier enfant est un réel bonheur pour ce couple pour qui tout n’a pas été facile. «J’ai eu un début de grossesse compliqué, révèle la jeune femme. A l’échographie, le gynécologue pensait voir un risque de trisomie. J’ai subi des examens complémentaires, et les trois jours d’attente avant les résultats étaient terriblement angoissants.»

Ces mauvais souvenirs cèdent la place à toute l’émotion du premier cri, du premier bain, du premier baiser que ces heureux parents ont pu vivre en ce jour si particulier.

Dominique Suter