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Des vœux éclipsés par les douze coups de minuit
Au Temple, les musiciens de l’Ensemble Tiffany, emmenés par le violoniste Friedemann Sarnau, ont proposé leur répertoire qui fait écho aux années folles. © Michel Duperrex

Des vœux éclipsés par les douze coups de minuit

3 janvier 2019 | Edition N°2406

Yverdon-les-Bains – De nombreux habitants se sont rassemblés sur la place Pestalozzi pour célébrer le Réveillon de la Saint-Sylvestre et le passage à la nouvelle année, dans une ambiance chaleureuse et conviviale.

Une température fraîche mais agréable, des animations flamboyantes et un bon vin chaud: tous les ingrédients étaient réunis pour fêter le Nouvel An sur la place Pestalozzi, à Yverdon-les-Bains. Organisée conjointement par la Municipalité et l’association Paf Events, la manifestation a rassemblé de nombreux habitants à l’occasion du Réveillon de la Saint-Sylvestre.

Le vice-syndic Marc-André Burkhard n’a pas hérité du meilleur timing pour souhaiter ses vœux pour l’année 2019, puisque son discours a été occulté par les douze coups de minuit, que les Yverdonnois n’ont, eux, pas manqué.

La soirée a été ponctuée d’autres animations partout dans la Cité thermale: l’Ensemble Tiffany a proposé son traditionnel concert au Temple, alors que le Cercle littéraire  montait sur la scène du Théâtre Benno Besson. Enfin, les noctambules ont dansé jusqu’au petit matin sur la piste de L’Amalgame.

Au Temple, les musiciens de l’Ensemble Tiffany, emmenés par le violoniste Friedemann Sarnau, ont proposé leur répertoire qui faisait écho aux années folles. © Michel Duperrex

Albertius, alias Manuel Gleyre, a envoûté le public par son spectacle tout feu tout flamme. Un moment poétique présenté par la Compagnie du Petit Grimoire. © Michel Duperrex

Un set d’allumettes bengales et une flûte de champagne: il n’en fallait pas plus pour célébrer la nouvelle année. © Michel Duperrex

La soirée qui s’est déroulée à L’Amalgame avait un goût d’interdit. Avec le Nouvel An de la prohibition l’évènement a marqué un retour aux Etats-Unis des années 1920, à l’époque où l’alcool était illégal. Transformée en bar clandestin, le temps d’une nuit, la salle yverdonnoise a accueilli de nombreux danseurs sur la piste. Ambiance charleston assurée! © Michel Duperrex

Rédaction