L’institution a engagé un collaborateur sous enquête pour s’occuper des mineurs non accompagnés. Ce n’est pas du goût de l’Etat. I. RO Il est rare que le Tribunal cantonal s’exprime de manière aussi sévère, s’agissant par ailleurs d’une institution de droit public telle que l’Etablissement vaudois d’accueil des migrants (Evam). Le courroux des juges de la Cour de droit administratif et public (CDAP) a pour cause l’engagement d’un collaborateur qui fait l’objet d’une procédure judiciaire, mais plus encore l’acharnement de l’Evam à le défendre. « Au vu de la gravité des faits f
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