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La Fête Eau-Lac à la conquête du ciel

2 juillet 2015

Yverdon-les-Bains – A peine la quatrième édition terminée, le comité se tourne vers le cinquième anniversaire de la manifestation, avec des idées plein la tête. L’un des projets serait de recevoir une rencontre d’hydravions.

Ce sont 10 000 personnes qui sont venues découvrir les activités lacustres à la Fête Eau-Lac. © Nadine Jacquet

Ce sont 10 000 personnes qui sont venues découvrir les activités lacustres à la Fête Eau-Lac.

La quatrième édition de la Fête Eau-Lac a animé avec succès les bords de la Thièle, à Yverdon- les-Bains, le week-end dernier. «Nous avons reçu plus de 10 000 personnes cette année», indique Pierrette Roulet-Grin, présidente du comité d’organisation. La première édition avait attiré 4000 personnes, puis le double de visiteurs s’était retrouvés à la fête, les deux années suivantes. «La question qui se pose maintenant est de savoir comment évoluer», explique la présidente, qui souhaite agrandir la Fête Eau-Lac en prenant soin de conserver l’authenticité de l’évènement.

Alors que la société d’accordéonistes de l’Aurore s’est déjà inscrite pour revenir animer musicalement l’évènement, l’an prochain, le comité réfléchit déjà aux animations qui pourraient être organisées pour fêter le cinquième anniversaire.

«Nous avons beaucoup de place à disposition, mais nous devons rester proches de la Thièle. Le but serait de trouver quelque chose qui soit bien visible, comme le bateau vapeur le Neuchâtel, qui est venu cette année, et des évènements qui rythment le week-end», lancet- elle en évoquant des idées comme un spectacle son et lumière sur l’eau, ou des concerts. Mais le projet sur lequel le comité mise est une rencontre d’hydravions.

«Nous avons déjà pris contact avec les responsables du meeting d’hydravions, ainsi qu’avec la Commune de Grandson, pour pouvoir parquer les avions et pour disposer d’une piste d’envol.» Le but serait que les visiteurs de la Fête Eau- Lac puissent contempler les engins en plein vol, mais également les rejoindre, en bateau, puis faire un petit tour dans les airs.

«Nous sommes heureux d’être condamnés à grandir », conclut Pierrette Roulet-Grin.

Muriel Aubert