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LBG reprend une petite blanchisserie

9 janvier 2013

Société yverdonnoise spécialisée dans le traitement du linge privé, «Wash & White» passe de Mont-Riant (Fondation Saphir) à LBG (Les Blanchisseries générales).

Le personnel de la blanchisserie située dans le Centre Saint-Roch, avec la gérante Nicole Bridel (au centre), change d’employeur.

Petite blanchisserie créée il y a douze ans -elle avait pour mission de traiter le linge privé des pensionnaires de la Fondation Mont-Riant-, «Wash & White» a changé de mains en ce début d’année. Elle a en effet été reprise par LBG, Les Blanchisseries générales, société dont le siège est à Chailly-Montreux, et qui dispose d’une importante unité de production dans le secteur des Petits-Champs, à Yverdon-les-Bains.

C’est une reprise en douceur, puisque pour les cinq collaborateurs de la petite blanchisserie, rien, à part l’employeur, ne devrait changer. Ils continueront ainsi à oeuvre dans les locaux du Centre Saint-Roch, où la société est installée depuis sa création.

La gérante de «Wash & White», Nicole Bridel, reste également à la barre et devient la responsable du service du linge privé chez LBG.

Activités élargies

Cette petite blanchisserie a été créée par la Fondation Mont-Riant, sous l’impulsion du directeur général de l’époque, Patrice Lévy. Entité juridiquement indépendante, elle traitait non seulement le linge privé des pensionnaires de la Fondation, mais aussi celui de personnes hébergées dans d’autres institutions et sociétés.

A une époque, «Wash & White» est passée en mains privées, avant d’être reprise par la Fondation Mont-Riant. Dans le cadre de la réorganisation de cette dernière, sous l’impulsion du nouveau directeur général André Allmendinger, il est apparu que la gestion de cette petite entreprise autonome (société anonyme indépendante) ne figurait plus dans les missions de la Fondation qui se nomme désormais Saphir et qu’il valait mieux en confier la gestion à une société spécialisée.

«Wash & White» et ses cinq collaboratrices traitent en moyenne quelque 500 kilos de linge privé par jour. Il s’agit donc de vêtements de confection propriété des pensionnaires et résidants.

 

Isidore Raposo