Le Centre équestre prépare sa mue
2 octobre 2015Yverdon-les-Bains – Quatres nouveaux bâtiments devraient venir compléter la structure dédiée aux cavaliers et aux chevaux. Le projet est mis à l’enquête.
Le Centre équestre d’Yverdon (CEY) poursuit son développement. Alors que les travaux étaient espérés pour cet été (La Région Nord vaudois du 26 mars dernier) par son propriétaire, Max Studer, la préparation du dossier a pris un peu plus de temps que prévu. La mise à l’enquête publique du projet d’agrandissement et de mise aux normes débutera demain.
«Pour autant qu’il n’y ait pas d’opposition et que les conditions météorologiques le permettent, la construction pourrait débuter au mois de décembre, explique Max Studer. Les travaux devraient ensuite durer entre 18 et 24 mois.» La priorité sera mise sur deux infrastructures. Un bâtiment de deux étages, qui abritera quatre logements, des bureaux et une buvette. Ainsi qu’une nouvelle halle, qui offrira une deuxième place de travail couverte et abritera des écuries pour proposer une trentaine de nouvelles places. «Cet espace de travail permettra de doubler le nombre de cours, se réjouit le propriétaire. Car à l’heure actuelle, la halle d’équitation intérieure affiche complet pour tout l’hiver.»
De plus, les structures provisoires, du côté de l’aérodrome, seront remplacées par une écurie aux normes et un nouveau bâtiment permettra de créer un poney-club pour les enfants. «La clientèle pour les petits poneys est en augmentation depuis que j’ai repris le centre, en 2011», fait remarquer Max Studer.
A noter que les travaux ne perturberont en rien le fonctionnement du Centre équestre. «Les constructions ont lieu sur de nouveaux espaces», souligne le propriétaire, en indiquant qu’une séance d’information sera prochainement organisée. Les clients et les partenaires du centre pourront alors mieux se rendre compte du projet, à l’aide de différents visuels.
«La nouvelle structure sera beaucoup plus agréable pour nos clients et pour les employés, mais ce sera également bien mieux au niveau visuel», fait remarquer Max Studer.