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Pierre Droz reprend les rênes du tourisme régional

24 février 2017

Yverdon, 24 février 2017. Grand Hôtel des Bains, CP OT, Pierre Droz et Dominique Faesch. © Michel Duperrex

Le Jurassien d’origine, directeur de Winterthour Tourisme, a été nommé à la tête d’Yverdon-les-Bains Région. Il succède à la future retraitée, Dominique Faesch.

Le nouveau visage du tourisme régional est connu. Pour succéder à Dominique Faesch, qui a exprimé sa volonté de prendre sa retraite, l’Association pour le développement du Nord vaudois (ADNV) a arrêté son choix sur Pierre Droz. Présenté cet après-midi à la presse, le Jurassien d’origine, 37 ans, actuellement en poste à la direction de l’office du tourisme de Winthertour -ville jumelée avec Yverdon-les-Bains-, entrera en fonction au mois d’août. Il dirigera une équipe de quinze collaborateurs. «J’ai déjà visité quelques appartements dans la région, mais n’ai pas encore choisi si je résiderai dans la Cité thermale, Orbe ou Sainte-Croix», rigole celui qui emménagera avec sa femme, d’origine autrichienne, et sa petite fille âgée de sept mois.

Après un apprentissage d’employé de commerce dans le domaine des assurances, l’Argovien change de voie et s’inscrit à la Haute école de tourisme, à Sierre. S’en suivent plusieurs années à des postes à responsabilités au sein de Suisse Tourisme à Paris, Zurich et Amsterdam. Ce spécialiste de l’e-marketing se tourne alors vers le monde de l’hôtellerie, avant de reprendre la direction de Winthertour Tourisme. «Comme Winthertour, l’éventail en matière d’offres touristiques et économiques d’Yverdon-les-Bains et de sa région est énorme.» Une région qui, à ses yeux, compte donc de nombreux atouts, à commencer par un écrin de verdure exceptionnel. «Dans le Nord vaudois, entre le lac et le Jura, la nature est omniprésente. C’est une plus-value indéniable pour le tourisme, explique Pierre Droz. Beaucoup a été fait, mais beaucoup reste encore à faire», insiste-t-il, en ne manquant pas de relever le bon travail réalisé par sa prédécesseure.

Retrouvez l’article complet dans notre édition du lundi 27 février 2017.

Simon Gabioud