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Quand la nouvelle année entre dans    la danse
Une cinquantaine d’Yverdonnois avaient le cœur à la danse samedi dernier, lors du Petit Nouvel An du Conseil des séniors de la ville. © Michel Duperrex

Quand la nouvelle année entre dans la danse

7 janvier 2019 | Edition N°2408

A Mathod comme à Yverdon-les-Bains, le Petit Nouvel An a été dignement fêté dans la région. Un repas convivial, et en piste pour 2019!

A peine sortis de la Saint-Sylvestre que plusieurs associations du cru préparaient déjà leur première manifestation de l’année. Certains ont organisé une version dansante du Petit Nouvel An, samedi soir, alors que d’autres se sont affairés en cuisine pour concocter un festin. Qu’importe la formule, l’essentiel était de s’amuser, et c’est une mission réussie.

Le Conseil des séniors d’Yverdon-les-Bains (COSY) a, pour sa part, invité le public à se mettre sur son 31, afin de partager un repas d’exception avant d’enflammer la piste de danse. Au total, 48 personnes se sont déplacées au premier étage du Théâtre Benno Besson pour souper,  et bien d’autres les ont rejoints pour quelques pas de valse, de cha-cha-cha ou encore de salsa. Animée par Bertrand Musique, la soirée s’est déroulée comme du papier à musique dans une ambiance particulièrement joviale.

La Chorale de Mathod-Suscévaz a mis les petits plats dans les grands en proposant un buffet de plus de quinze salades à ses convives, avant le traditionnel plat de cornettes et saucisse aux choux.  © Michel Duperrex

La Chorale de Mathod-Suscévaz a mis les petits plats dans les grands en proposant un buffet de plus de quinze salades à ses convives, avant le traditionnel plat de cornettes et saucisse aux choux. © Michel Duperrex

Mais les citadins n’étaient de loin pas les seuls à profiter d’un bis repetita du Réveillon. La Chorale de Mathod-Suscévaz a réuni plus de 200 villageois autour d’un concert, suivi d’un repas et d’un bal. Mais cette année, les chanteurs ont fait une entorse à leur règle, car au lieu d’inviter leurs convives à la grande salle de Mathod,  comme ils le font depuis son inauguration en 1953, c’est au Vieux Battoir qu’ils les ont accueillis. Le site traditionnel étant en rénovation, ils cherchaient un espace assez grand pour maintenir leur manifestation. Les organisateurs ont malgré tout dû refuser une cinquantaine de personnes, faute de place. Un succès qu’ils doivent, selon eux, au musicien jurassien qui a animé le bal, Francis Lachat. C’est donc sur une soirée emplie de bonne humeur que les portes du Vieux Battoir se sont fermées une dernière fois avant sa démolition imminente.

Rédaction