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Ils rêvent du titre de Miss et Mister

10 avril 2015

Nord vaudois • Deborah Antonioli, Timothée Favre, tous deux d’Yverdon-les-Bains, et Bryan Castillo, de Villars-Burquin, représenteront la région lors de la finale de Miss et Mister Suisse francophone. 

«On se retrouve chez toi pour aller ensemble à Bulle?» C’est en toute amitié que Deborah Antonioli, Bryan Castillo et Timothée Favre discutent dans un café d’Yverdon-les-Bains. Rien ne laisse à penser que les trois amis sont en compétition pour obtenir, le 13 juin prochain, le titre de Miss ou de Mister Suisse francophone. Les trois jeunes Nord-Vaudois ont pourtant bel et bien fait connaissance en se lançant dans l’aventure de ce concours, auquel peuvent se présenter toutes les personnes francophones de Suisse pour la quatrième fois.

«C’est un monde qui nous était inconnu, mais nous y prenons goût», explique Bryan Castillo. Pour ce concours, les participants sont amenés à défiler, principalement dans les boîtes de nuit de Suisse romande, à présenter des vêtements dans des centres commerciaux et à se mettre en valeur lors de séances photos. «C’était difficile, au début, de se montrer  et de parler dans un micro, mais maintenant, nous sommes plus à l’aise et c’est devenu un vrai plaisir», indique avec le sourire Timothée Favre. Les jeunes mannequins amateurs sont suivis par un coach depuis début novembre et apprennent, au fil des événements organisés par le concours, à se comporter sur le devant de la scène. «Nous progressons également avec l’aide des autres participants. L’ambiance est très sympa, et on se donne des conseils. Il n’y a pas de concurrence ou de jalousie, contrairement à ce que l’on pourrait croire», explique Deborah Antonioli.

Bien qu’ils soient sous le feu des projecteurs depuis plusieurs mois, les trois jeunes gardent les pieds sur terre. «C’est vrai, qu’en Suisse, c’est difficile de vivre du mannequinat», commente Bryan Castillo. «Oui, mais ce concours est une belle expérience et elle pourrait nous ouvrir des portes, ajoute Timothée Favre, qui souhaiterait faire plus de shootings, à côté de ses études. C’est un super job d’étudiant!»

Deborah Antonioli a 21 ans et vit à Yverdon-les-Bains. Elle est actuellement en dernière année de bachelor en soins infirmiers à la Haute école de santé de la Source, à Lausanne. Elle passera ses examens cet été. Bien qu’elle se prépare presque chaque week-end pour la finale du concours, elle n’a pas changé ses habitudes alimentaires. «Je fais quand même un peu plus de sport qu’avant», explique-t-elle, avec le sourire.

Deborah Antonioli a 21 ans et vit à Yverdon-les-Bains. Elle est actuellement en dernière année de bachelor en soins infirmiers à la Haute école de santé de la Source, à Lausanne. Elle passera ses examens cet été.
Bien qu’elle se prépare presque chaque week-end pour la finale du concours, elle n’a pas changé ses habitudes alimentaires. «Je fais quand même un peu plus de sport qu’avant», explique-t-elle, avec le sourire.

A 23 ans, Timothée Favre vit à Yverdon-les-Bains. Il est étudiant à la faculté des Hautes études commerciales, à l’Université de Lausanne, et souhaite travailler dans un domaine lié à la gestion d’entreprise. A côté de ses études, il aime jouer du piano et se rendre au fitness. Avant de se lancer dans l’aventure Miss et Mister Suisse francophone, il avait déjà participé à un shooting photo, mais n’avait jamais défilé. C’est en recevant, sur Facebook, une invitation pour participer au concours, qu’il a décidé de s’essayer au mannequinat.

A 23 ans, Timothée Favre vit à Yverdon-les-Bains. Il est étudiant à la faculté des Hautes études commerciales, à l’Université de Lausanne, et souhaite travailler dans un domaine lié à la gestion d’entreprise. A côté de ses études, il aime jouer du piano et se rendre au fitness. Avant de se lancer dans l’aventure Miss et Mister Suisse francophone, il avait déjà participé à un shooting photo, mais n’avait jamais défilé. C’est en recevant, sur Facebook, une invitation pour participer au concours, qu’il a décidé de s’essayer au mannequinat.

Bien que Bryan Castillo ait grandi à Nyon, il vit dorénavant à Villars-Burquin. Le jeune homme de 22 ans a commencé sa maturité professionnelle commerciale, en pensant rejoindre l’EPFL, mais sa passion pour le sport l’a rattrapé. «Rester derrière un bureau toute la journée, ça n’est finalement pas pour moi. J’ai besoin de plus de contact avec les gens et j’ai décidé de devenir personal trainer», se réjouit-il, alors qu’il a augmenté ses heures d’entraînement au fitness depuis le début du concours.

Bien que Bryan Castillo ait grandi à Nyon, il vit dorénavant à Villars-Burquin. Le jeune homme de 22 ans a commencé sa maturité professionnelle commerciale, en pensant rejoindre l’EPFL, mais sa passion pour le sport l’a rattrapé. «Rester derrière un bureau toute la journée, ça n’est finalement pas pour moi. J’ai besoin de plus de contact avec les gens et j’ai décidé de devenir personal trainer», se réjouit-il, alors qu’il a augmenté ses heures d’entraînement au fitness depuis le début du concours.

Muriel Aubert