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Un joyeux bric-à-brac
Le staff d’organisation, avec de g. à dr. Lorianne Lassueur, secrétaire, Patricia Pittet, caissière, et Coralie Grosjean, présidente.

Un joyeux bric-à-brac

11 avril 2025 | Texte et photos: Jean-François Reymond
Edition N°3926

L’association Vide-Poussette a poursuivi son action caritative avec déjà sa 16e édition.

C’est un joyeux bric-à-brac coloré et varié que l’on pouvait découvrir dans les salles du CEVI de Ballaigues samedi dernier. Mais, contrairement aux apparences, tout était classé, empilé, trié et sélectionné avec soin. Il s’agissait bien évidemment de pouvoir guider à coup sûr les acheteurs potentiels vers ce qu’ils recherchaient.

Il y avait de tout. Le Vide-Poussette porte d’ailleurs bien son nom… Tout ce qu’il faut en puériculture, grossesse, habits, chaussures, articles de sport, livres, jeux et jouets étaient disponibles, le tout en seconde main. La vente était organisée de 8h30 à 13h, non-stop. Il était aussi possible de se restaurer sur place.

La présidente Coralie Grosjean, la caissière Patricia Pittet et la secrétaire Lorianne Lassueur étaient satisfaites de la participation. «Les deux premières heures sont cruciales. C’est là qu’il y a le plus d’acheteurs et nous devons faire preuve de concentration afin d’enregistrer tous les articles achetés dans un nouveau programme informatique que nous ne maîtrisons pas encore.»

Axé sur le bénévolat

Outre le comité, l’association Vide-Poussette compte quinze membres actifs bénévoles. Le but est de pouvoir organiser deux ventes par année. Une au printemps et l’autre en automne. La prochaine est d’ailleurs déjà agendée au 27 septembre. Les autres démarches consistent à soutenir des associations caritatives et à unir et resserrer les liens d’amitié entre tous les membres.

Cette année, c’est Aide alimentaire Romandie qui est soutenu, dont la responsable est Cathy Burnier, de la vallée de Joux. Ce groupe, connu sur Facebook, vient en aide aux personnes démunies et aux familles dans le besoin. Et pas seulement alimentaire.

Il est vrai que sans le bénévolat et de nombreuses heures de travail, un tel marché ne serait pas possible. En amont, on imagine aisément tout ce qu’il faut prévoir. La disposition des tables, des pendoirs, le classement, le pliage de milliers d’objets ou d’habits présentés.

Les organisatrices remercient ainsi les vendeurs, les donateurs, et toutes les personnes qui ont œuvré pour cette réussite qui s’assume déjà sur la durée depuis dix ans.  Et si de bonnes volontés souhaitent s’investir dans cette aventure, elles sont les bienvenues!