Logo

RNV en fête dans de nouveaux locaux

1 février 2016

Orbe – Radio Nord Vaudois a célébré, samedi, ses deux ans d’existence dans son tout nouveau studio situé au Technopôle de l’environnement.

Une émission spéciale était au menu dans les nouveaux locaux. © Carole Alkabes

Une émission spéciale était au menu dans les nouveaux locaux.

L’équipe de Radio Nord Vaudois (RNV) était à pied d’oeuvre, samedi après-midi, pour accueillir les visiteurs au Technopôle de l’environnement urbigène (TecOrbe). L’événement, organisé par une vingtaine de bénévoles issus de différents milieux professionnels, remplissait un double objectif: fêter les deux ans de leur webradio associative et vernir leur nouveau studio.

Pour marquer le coup, une émission en direct, avec la présence de l’auteure compositrice interprète yverdonnoise Jolane, ainsi que de son homologue genevoise Nyna Loren, mais aussi de l’hypnotiseur Loïk Hypnose, de Sainte-Croix, était au programme. Tous trois se sont également produits en direct dans la salle jouxtant le studio.

L’opportunité de s’implanter au TecOrbe est née d’un partenariat avec l’Association pour le développement du Nord vaudois (ADNV). Cette dernière sponsorise «Enjeux Nord-Vaudois», un rendez-vous hebdomadaire proposé depuis août dernier, et dont le but est d’en apprendre davantage sur les acteurs de la région -entrepreneurs, élus et représentants des institutions- par le biais d’un jeu de l’oie.

Une aubaine

«L’ADNV nous a mis en contact avec Jean-Philippe Petitpierre, le directeur de TecOrbe, qui nous a accueilli à bras ouverts. Le financement octroyé pour l’émission nous permet de couvrir une partie de nos besoins», déclare Yves-Alain Golaz, dit «Yago», responsable communication de Radio Nord Vaudois.

Depuis l’automne dernier

Le studio, mis à disposition début septembre, est utilisé depuis mi-novembre par l’équipe de RNV. Une aubaine pour les bénévoles qui, après une période initiale de six mois à Yvonand, devaient se passer de locaux attitrés. «La plupart des émissions étaient enregistrées au domicile des uns et des autres ou à d’autres endroits. «Je me rendais chez l’habitant pour réaliser ma matinale et le matériel circulait entre nous, ce qui n’était pas idéal d’un point de vue logistique», commente «Yago».

Ludovic Pillonel